Une rencontre marquante s'est tenue entre M. Ilyas Moussa Dawaleh, le ministre des Finances et de l’Economie, et M. Ousmane Dione, vice-président de la Banque Mondiale pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) dans les quartiers du ministre. L’atmosphère, à la fois solennelle et chaleureuse, témoigne de l'engagement des deux parties à aborder les défis complexes auxquels le pays est confronté.

À son arrivée, M. Dione a été accueilli avec un respect palpable. Les discussions, qui se sont tenues sous l'œil attentif du cabinet ministériel, ont rapidement plongé dans le vif du sujet : la pauvreté, la diversification économique, la digitalisation de l’économie.

Les enjeux sont nombreux et pressants. Avec une sincérité rare, les deux hommes ont échangé des idées et des stratégies sur comment la Banque Mondiale pourrait soutenir Djibouti dans sa quête de développement.

Les thèmes abordés ne sont pas des moindres. L'amélioration de l'accès à l'éducation et à la santé, ainsi que la promotion de l’innovation et de l'entrepreneuriat ont été des points centraux. Ces secteurs sont cruciaux pour l’avenir du pays, et les discussions ont révélé une volonté commune de les renforcer.

Ce dialogue, empreint d'une vision partagée, laisse entrevoir des perspectives encourageantes. Dans un monde où les défis économiques sont souvent insurmontables, cette collaboration entre le gouvernement Djiboutien et la Banque Mondiale pourrait bien être le catalyseur nécessaire pour une transformation durable. M. Dawaleh et M. Dione, par leur engagement, ont ouvert une voie vers un avenir où Djibouti pourrait non seulement relever ses défis, mais aussi s'épanouir.

Dans la continuité d'un échange fructueux, une réunion élargie s'est tenue entre M. Ilyas Moussa Dawaleh, ministre des Finances, et l'équipe de la Banque Mondiale. Ce tête-à-tête de courtoisie s'est transformé en un véritable forum d'idées, où les défis et les opportunités se sont entremêlés dans une quête commune de développement.

Lors de cette journée de discussions stratégiques, plusieurs thématiques essentielles ont été mises en avant, illustrant les priorités du gouvernement djiboutien et de la Banque Mondiale. La diversification économique a été identifiée comme un levier crucial pour réduire la dépendance aux secteurs traditionnels et stimuler la croissance. Enfin, la digitalisation de l'économie a émergé comme une opportunité majeure pour moderniser les infrastructures, favoriser l'innovation et améliorer l'accès aux services, tant pour les entreprises que pour les citoyens. Ensemble, ces enjeux dessinent une feuille de route ambitieuse pour un développement inclusif et durable à Djibouti.

Au cœur des discussions, le ministre a exprimé un besoin pressant de renforcer les compétences et les savoir-faire de la jeunesse Djiboutienne. En effet, M. Dawaleh a sollicité l'appui de la Banque Mondiale pour mettre en place des programmes de formation adaptés, visant à préparer les jeunes aux métiers d'avenir. Sa vision va au-delà des frontières nationales, aspirant à préparer cette jeunesse dynamique à occuper des niches spécifiques sur le marché du travail, tant dans les pays du Golfe qu'en Europe.

S’inspirant de l’exemple kenyan, qui vient de signer des accords prometteurs avec l'Allemagne pour faciliter l'exportation de compétences, le ministre a plaidé pour une approche proactive. Selon lui, Djibouti pourrait devenir un carrefour de talents, en formant des professionnels capables de répondre aux besoins croissants de ces marchés exigeants.

Cette démarche ambitieuse témoigne d'une volonté d'anticipation dans un contexte économique mondial en mutation. La collaboration avec la Banque Mondiale pourrait s'avérer déterminante non seulement pour l'éducation, mais également pour le développement socio-économique du pays.

Les échanges ont été enrichis par des propositions concrètes et des engagements mutuels, témoignant de la détermination des deux parties à bâtir des ponts solides entre les compétences locales et les opportunités internationales. En se positionnant ainsi, Djibouti ne cherche pas seulement à répondre à ses défis internes, mais aspire à s'intégrer dans un monde en constante évolution, en faisant de sa jeunesse un atout majeur.

Ainsi, cette réunion élargie s'inscrit dans une dynamique prometteuse, où l'expertise de la Banque Mondiale pourrait catalyser le potentiel inexploité de la jeunesse Djiboutienne, ouvrant la voie à un avenir où les compétences locales brillent sur la scène internationale.

 

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